| | | | | papygerard | Administrateur | | 2107 messages postés |
| Posté le 15-05-2004 à 08:38:38
| l'amour... c'est si facile trop difficile mille fois dispendieuse mais elle rend si radieuse quand on la comprend tout peut être différent tout est alors si extraordinaire tout est devenu si prospère ça devient alors trop à l'envers donc on la quitte pour un monde meilleur ça se transforme en mythe et on s'envole vers un monde de bonheur aimer c'est grandir mais haïr c'est ne pas aimer. |
| super-woman099 | Membre | | 135 messages postés |
| Posté le 16-05-2004 à 21:57:49
| Aucune douleur ne vaux celle de mon cœur Des larmes de sang coulent en profondeur Pour avoir entendu cet homme , cette femme crié Pitié Dans ce grand fracas Aimant vivre en paix Pris par la mort Ce corps défile inerte Mes yeux parlant de joie Prennent une tournure tristesse Regardant ce ciel lumière Jusqu'à la nuit tremblante Je rêve que reviennent des oiseaux chantant Dans ce décor mourrant Mélianimdz
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| super-woman099 | Membre | | 135 messages postés |
| Posté le 16-05-2004 à 22:03:59
| A la plus souriante des pucelles A la plus enivrante des jouvencelles Je veux dédier ce poème… Je te vois marcher Pieds nus dans un pré, Les cheveux aux vents Et tu souris, souvent. Je suis la derrière, Je marche dans tes pas. Mais le vent fait barrière Et tu ne me vois pas. Je te chuchote mon amour Mais le vent t’assourdis, toujours… En même temps qu’Aphrodite Le soleil, en son zénith. Le vent a cessé… Tu entendras peut être, Mon amour chuchoté Dans les effluves de cette lettre…
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| super-woman099 | Membre | | 135 messages postés |
| Posté le 16-05-2004 à 22:05:07
| -------------------------------------------------------------------------------- Fais de beaux rêves... Douce nuit de pleine lune Où les nuages se sont effacés Devant le mirage ensorcelé Des étoiles et de Neptune. L'enfant sort de son chez soi Pas très loin, jusqu'à la fenêtre Pas longtemps, pour rêver peut-être Dans les nuages, là où il ne sait pas. Il rêve d'aller sur la lune Il pense qu'une grande échelle Mène la-haut, vers le ciel Il partirait seul avec prune. Prune c'est son doudou Un nounours de la même couleur Son meilleur ami, le seul d'ailleurs C'est son confident, il sait tout. Et il se voit à cheval sur une étoile Décorant l'azur de filaments de lumières Comme ces aventuriers de la mer Qui font le tour du monde à voiles. Pourtant, il sait qu'il est trop petit Et qu'il n'a pas le droit d'aller dehors A cause de ses marques sur le corps Mais il pense qu'il a été justement puni. Sa maman le prévenait de ne pas énerver papa Il se dit c'est sa faute, il a mit la pagaille Que papa est fatigué après le travail En fait ... il sait pas bien pourquoi. Les rues sont paisibles Jamais autant de sérénité N'avait été au rendez-vous d'Orphée Prenant bientôt l'enfant pour cible. Fais de beaux rêves dans ce placard Car demain sera un cauchemar.
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| papygerard | Administrateur | | 2107 messages postés |
| Posté le 21-05-2004 à 22:07:31
| Je t’aime Le soleil se lève aux parfums de l’orient Et monte vers les arcs qui sustentent les cieux Il se couche aux senteurs malouines d’océan Quand il finit sa ronde, révérence à mon Dieu. A mon doigt ton alliance est la route du soleil Une promesse à la vie de t’aimer chaque jour Elle brille dorée dans les volutes du ciel Pour chanter mon union à toi mon amour. Ton corps en soleil aux senteurs de l’encens Etire ses courbes et appelle de ses vœux Les nuits aux rayons bercées par le vent Et le souffle murmuré dans ton dos, tes cheveux. La lune argentée de miel à Venise Sur les lagunes endormies de la mer d’Illyrie Distille sa douceur aux reflets de cerise Sur les flots ouvragés de fines broderies. Dans mes yeux ciselés de l’aura de ton âme Joyau précieux, petite perle de mon cœur Se baigne de tendresse, pour toi une larme La joie d’être aimé y reflète mille lueurs. Ton visage auroré de couleurs boréales Brûle ma raison de sa douce lumière Et flotte en mon être comme l’eau de cristal De la joie vivifiante d’une pure rivière. |
| super-woman099 | Membre | | 135 messages postés |
| Posté le 01-06-2004 à 22:00:10
| yeux PETITE Tes yeux viennent de se noyer Cet arbre aux fruits très demandés Que mangent les rois et princes d'Arabie Ton visage rectiligne me fait rappeler Marylin Et ton corps couvert de roses et de jasmin Parfume ton cœur de tendresse et de joie Ton cou est comme cette gazelle Et tes yeux en forme de noisette Ta main sur la joue pensive tu pleures Et de l'autre sur ton cœur fragile Tu es comme cet ours qui hiberne Dans sa caverne bien au chaud Tu ris parfois comme cette rose Qui s'ouvre pour prendre le soleil Ton regard de femme timide Laisse passer la couleur de tes yeux Tu me parles souvent de tes chagrins Et moi avec ma poésie je calme ta douleur |
| le fabuleux | Membre | | 8 messages postés |
| Posté le 01-06-2004 à 22:01:41
| meliani madjid Je n'ai pas aimé voir les larmes Couler sur ton visage Ma peine était grande de te voir Pleurer sans cesse J'aurais voulu essuyer ces gouttes Qui coulaient sur tes joues Mon cœur s'est acharné sur l'homme Qui t'a fait du mal Je voulais garder dans mes pensées Toujours ce sourire doux Et cette voix rouée dans ta gorge Que j'aimais entendre douce Essuie tes larmes que je voie Au fond de tes yeux Cette couleur de pomme que tu portes Dans ce regard jeune Je suis un homme sensible et j'aime
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| papygerard | Administrateur | | 2107 messages postés |
| Posté le 08-06-2004 à 21:48:56
| Femme, Pour moi ton corps est un temple Qui brouille mon âme avec Dieu, Il suffit que je le contemple, Pour nourrir des desseins insidieux. Pour moi ton corps est une église, Où trônent deux seins généreux, Vers lesquels se focalisent, Mes prières aux accents langoureux. Seule et unique terre promise, Qui recèle des trésors délicieux ; Je n’attendrais pas comme Moïse, D’avoir le feu vert des cieux, Pour accoster sur ce rivage Peuplé d’ardentes promesses Et m’enivrer du doux breuvage, Jaillissant des monts de tendresse. Mon regard s’attarde indiscret Sur ces terres aux formes exquises, Réceptacle des doux secrets Et faite pour être conquises. Accepte Ô Divin créateur, Ma reconnaissance éternelle Et pardonne au grand tentateur, Qui m’invite à ses fêtes charnelles ! Dailleurs j’ai ouï dire que les anges, Cueillent parfois les fruits défendus Et que la nuit des soupirs étranges, Aux quatre coins des cieux sont entendus. Alors permet à l’humble mortel De rendre hommage à la féminité, En déposant sur ton autel, Des offrandes de frivolités. Femme, Pour moi ton corps est une église Où mon âme s’égare sans regrets ; Un temple où se matérialise, Un ciel chargé de tendres secrets. |
| super-woman099 | Membre | | 135 messages postés |
| Posté le 12-08-2004 à 16:12:08
| Comme hier Comme demain Comme demain de ta voix douce j'observe encore ta belle chaire quant j'entends ta voix en ton absence de ton amour je n'aime que toi Comme hier tu renaîtra dans mon cœur si grand je te vois tourné juste devant moi Comme la rosée du matin printanier la lueur de tes yeux noirs souris à moi Comme ce jour je suis la à t'attendre venir sans l'être tu es saisons été au senteur de la plage Comme de suite l'automne viens ce parfum de framboise tu me tiens Comme de tes lèvres si tendres coupé sur du verre cristal j'admire tes cheveux sombres Comme petit que je sois j'aime ce sourire que tu me donnes rinçant mes yeux la fraîcheur du matin - Comme demain sera silence et que tu attendra mon absence je serai cette lune qui te portera bonheur Comme je trouve des mots pour toi ,je t'admire comme tu aime le faire pour moi Comme je te veux mais je n'ose , fou timide de le dire cette envie de te prendre en moi comme je voulais câliné tes belles jambes la nuit dans le silence je ne parle qu'aux anges et au créateur. meliani
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| super-woman099 | Membre | | 135 messages postés |
| Posté le 12-08-2004 à 16:13:05
| Dort mon Cœur Dort mon cœur comme je dors a tes pieds mon souffle , comme tes caresses. Dort mon cœur comme tu dors dans mes bras glisse tes mains sur mon corps. Dort mon cœur comme je le fais chaque soir en regardant ton joli front. Dort mon cœur comme la lune partage en moi mes peines et repose ta tête sur mes genoux. Dort mon cœur toi mon amour tu le sais bien faire de ta bouche et donne moi à boire. Dort sur mon Corps et reste immobile des heurs j'aime sentir ton parfum si doux. Dort chérie et montre toi paresseuse car j'aime en toi cette douceur femme. Dort juste la a mes pieds , tout en silence et laisse mes baisés faire clore tes yeux noirs Dort la juste dans mes bras que je regarde tes yeux qui brillent de flammes . Dort sur mon épaule , et rêve de mon amour je suis jaloux de tes rêves. Dort et pense a moi le jour , la nuit et reste comme cette heureux présage. Dort j'aime te vois juste la les yeux rivés sur moi laisse mes doigts frôlés tes lèvres roses. Dort en moi comme ce bébé et laisse moi te bercé juste avec mes mots. Dort et ne parle que pour me dire des douces parole et laisse moi te faire l'amour. meliani madjid
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| super-woman099 | Membre | | 135 messages postés |
| Posté le 12-08-2004 à 16:13:39
| ENVIE DE TOI J'ai envie de peindre tes belles lèvres fines de ses couleurs arc en ciel. Peindre autre chose qu'un joli sourire de mes mains expertes. Une fleur violette qui ne pourra mourir Dans ce volcan qui de ta bouche parfume je tremperai mon pinceau de ta salive. Qui fera de nos bouches un fruit divin que l'on dévorera au lointain matin. Dans la couleur vif de mon cœur mille feux fou ivres et charmeurs. Doucement nous soufflerons ce feu et tu sentira cette lave de mon amour en toi. Dans tes yeux qui brillent de mille facettes j'allumerai des guirlandes d'éclairs. Pour transformé en douce et tendre cratère d'où s'échappera ce feu brûlant de l'amour. Cette flamme qui jaillis en toi me redonne l'envie de toi. Sera une source de miel que j'aime boire de ta main . Puis après avoir manger de cette lave je dévore ainsi tes jolies seins. Nos corps allongés comme sous ses vents moissons et d'avoir échangé nos mots les plus tendres. Nos cris les plus tendres et doux ce mélange a nos jouissances. rassasier de plaisir je me mettrais allongé prés de tes pieds. Toi ma princesse d'amour , tu m'embrasse encore assise a mes cotés tu regarde le levé du jour. Je pose enfin sur ce tapis près de ton Corps affaibli pour te donner a boire de mon jus. j'adore caressé ton corps tes jambes tes genoux et chevilles je prendrais chaque image de toi et la mettre en moi meliani
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