Sujet : poeise de maliani | | Posté le 21-03-2004 à 13:06:15
| Le roi est tombé sous le charme Attiré par cette voix de femme Entraîné au lointain horizon Par cette sirène venue du fond Saoul, gai, emporté, ensorcelé, Ce sourire de biche m'envoûte Moi ce Roi régnant sur ce trône Ton regard tendre et doux Regardant ce petit bout de chou Tes yeux couleur rivière Mélangé au gris bleu du ciel Tes cheveux châtain automne Propulsent en moi ce désir enfantin Et cette plume que tu portes à la main Écrit des mots que j'aime Madjid MELIANI |
| | Posté le 21-03-2004 à 13:07:08
| Mélancolie, tristesse, chagrin et souffrance je vois Dans tes yeux la peur, un regard timide Ton visage dessine la tendresse, la beauté de femme Par ton sourire la douceur exotique Tes écrits me disent que tu as mal en toi Raconte-moi toi femme , ce que tu caches là Sois gaie heureuse avec ou sans moi La pureté , la beauté d'une femme que je vois en toi Passive, oubliée, je ne sais que dire de ça Dresse-toi comme ce sapin bien droit Regarde autour, et dis-toi que je suis là Vis bien, je n'ai pas le temps de dire ça Existe et respire fort cette fleur que je tends là Reviens chaque soir me dire que tu es là |
| | Posté le 21-03-2004 à 13:07:46
| Lune mon amie, parle-moi d'elle Toi qui veilles et ne dors pas la nuit Regardes par sa fenêtre ma favorite Passe tes rayons à travers les vitres Et dis-moi ce que tu vois en elle Je ne dors point la nuit à cause d'elle Depuis elle me parle de nos souvenirs La flamme qui dormait en moi se réveille Toi lune ma confidente console mon angoisse Et trouve des indices pour chasser ma peur Réchauffe mon cœur par ton pouvoir lunaire Rien ne vaut la bonté qu'elle a dans son cœur Dit lui qu'elle est toujours celle que je préfère Et que je ne nie pas mon grand amour pour elle Elle restera pour moi ma première expérience Et que dans mon cœur sa place est réservée Mes sentiments ne changeront jamais envers elle |
| | Posté le 21-03-2004 à 13:28:22
| Allons voir le matin se lever Viens.Sur tes cheveux noirs jette un chapeau de paille. Aant l'heure du bruit, l'heure où chacuntravaille, Allons voir le matin se lever sur les monts Et cueillir par les prés les fleurs que nous aimons. Sur les bords de la sources aux moires assoupies, Les nénupharss dorés penchent des fleurs pâlies. Il reste dans les champs et dans les grands verge'rs Comme un écho lointain des chansons des bergers; Et, secouant pour nous leurs ailes odorantes, Les brises du matin, comme des soeuirs errantes, Jettent vers toi, tandis que tu souris, L'odeur du pêcher rose et des pommiers fleuris. TH. DE BANVILLE |
| | Posté le 21-03-2004 à 13:39:21
| L'ALBATROS Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-geule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait. le oète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêche de marcher. charles Baudelaire |
| | Posté le 21-03-2004 à 22:47:24
| il n'est ce rose que dans ta bouche peinte de cette couleur il n'y a qu'unr rose en moi c'est une belle femme comme toi il ne se ressemble que par ta voix faisant fremir ma joie il n'y a qu'une rose qui jaillit en moi |
| | Posté le 21-03-2004 à 22:50:34
| il ne se passe que des jours sans toi je reve de toi des nuits blanches il n'y a que cette couleur qui rose de tes pommettes tendre en toi il n'y a qu'une rose qi coule de ma plume en soie je ne vois que toi seule pour deviné que tu es la il n'y a qu'une rose , parfum de douceur de nuit que je soit en toi dimanche viendra à ton secours une femme divine dormant au bois mailiani madjid |
| | Posté le 21-03-2004 à 22:59:23
| j'ai pris j'ai pris dans ton coeur un tendre moment j'y suis je reste tant que tu seras en moi aime moi comme ce petit que tu portes bien et regarde a travers moi le temps qui passe je revis en toi mes moments de tendresse ma foi est posee sur toi comme par ta douceur j'aime tes yeux vert marron me disent ' je t'aime " tes levres taillaient sur tes vers collé et tes cheveux porté par le vent au loin petit je suis dans tes bras porté je suis ton sourire de biche rime a mes oreilles et ta voix douce emporte mon chagrin au ciel amoureux je suis de toi ma femme ma tendre je t'aime comme je n'ai jamais aimé un jour que toi tu y es comme mes caresses sur toi j'adore te prendre en moi pour te garder à moi dis à quopi penses tu je vois que tu te trolmpes parfois meliani |
| | Posté le 22-03-2004 à 21:34:12
| [flash] histoire vrai à ne pas vivre [/flash] Les automnes encourageant mes veillées, Un thème se dessine, insiste et tonne. Seul, entouré, inspiré et baillées, La verge en main, écris, rature, étonne. Ainsi se raconte par de veules vers, Le passé, le présent et le futur De mon destin, triste et solitaire, Espérant mon avenir pleins d'azurs. Les soirées sont propices aux délices. Ce soir d'hiver, le col était ouvert, Afin que par le trou, puisse et glisse Et découvrir le très bas univers. Dix neuf cent septante deux et deux mois, Le premier cri persant dans le monde, Vingt-deuxième jour et quart du même, voilà, Une famille, le père, la mère, le fils fondent. Venue de l'au-delà laborieuse, La mission ici-bas est très grande. Terrestre vie, longue et malheureuse, Un Ange, guide, garde, patiente et glande. Le bonheur se change en inquiétude. La faux est là, regarde, jubile, tente. Médecins, espoirs restaurent la quiétude. La faux, écartée, arrière, se vente. Il est là, garde, veille comme au premier jour. Un père aime son enfant qu'Il a créé. Car son nom, son plus beau nom est Amour. Son Fils, sérieux, bon prévient la sombrée. Septante quatre, est née, mois des moissons, Une soeur après le frère venu trop tôt, A Douarnenez, enrichir la maison. Complète opposée du frère, elle est plutôt. Décennie septante, épreuves, affronte. Coeur sans vie, corps branché, sorciers excellent. Etre réparé, mal confus de honte, Et commencer une vie bien nouvelle. Condamné à la plus grande vigilance, Les années passent, les examens fréquents, Jusqu'à, de nouveau, entrent dans la danse Les sorciers pour restaurer l'élément. Nonante quatre, premier mois, par deux fois, La première reconstruction échouée, La faux toujours présente et tente parfois, Le Père est là, sauve, qu'Il en soit loué. Première fois Nantes, Deux autres fois Paris, Ces plans pour déjouer ceux du malin Espèrent enfin que le mal a appris Qu'il combattait et combattra en vain. Les épreuves succèdent aux épreuves. L'âme est las de voir son corps si meurtri. La détermination et la couleuvre Se querellent sans cesse dans le corps contrit. Nonante cinq, année révélatrice, La nuit, Il enlève, pour entretenir D'une noble matière annonciatrice Son serviteur, les douleurs à venir. Les nuits sont propices aux doux songes. Il en est un, le nul, le merveilleux. C'est ainsi que l'âme endormi plonge Dans l'univers blanc, l'au-delà, les cieux. Debout au centre d'un cube si blanc, Son regard sévère et rempli d'amour, Vêtu d'un blanc, d'un blanc si éclatant. Maintenant, Il s'adresse à son tour. Agenouillé et fixant Son regard, Le voilà posant Sa première question, Connaître l'avenir plus tôt que tard ? Il avait focalisé l'attention. La réponse était oui, biensûr, pas non. C'est ainsi, en cinq interrogations, Il demandait chaque fois, si oui, sinon. Les réponses étaient oui sans restrictions. Voilà contractée trois autres souffrances. Une bien petite et deux autres bien grandes. Cette fois l'âme est de connivence, Le corps livré en offrande. Cependant, Il offre deux consolations, Une petite mais bien grande dans la vie. Puis une autre, bien grande après l'affliction : Cet immense bonheur au Paradis. Les songes, si délicats, si volatils, Leurs contenus prompts à s'évanouir, Reste plus que de souvenirs futiles De ce songe pour connaître l'avenir. [flash][/flash][s] |
| | Posté le 23-03-2004 à 18:48:53
| pour ma russe blesse dans mon coeur de t'avoir menti triste parfois mais heureux d'etre avec toi je suis capricorne comme toi doux et gentil je suis reveur et passionne d'amour pour toi toi petite russe tu remues cette plaie en moi je ne sais si je peux te dire j' t'aime douce tu es , merveilleuse tu es mon remede je prie chaque jour dieu de te voir un jour je me sens seul et derouté sans toi je perds des années et je vieillis sans toi ma tete se vide et je me perds en toi sachulia toi femme etrangere remue-moi je pleure mon avenir et ma vieillesse sans toi je voudrais te retrouver chaque fois à mon reveil je suis si triste que je ne peux exprimer ma tristesse a chaque rencontre je suis si bien a tes cotés a mon reveil , tu n'es plus là petite fille russe , douce et tendre comme le printemps tes yeux verts mélangés au bleu couleur ciel chante moi cet air que chantait ta grand mere donne moi ton froid et ta neige je t'envois mon soleil et ciel bleu pour toi meliani |
| | Posté le 31-03-2004 à 12:56:47
| GLOIRE AU PRINTEMPS! Une haleine de rose dans le vent m'a saisi. Gloire et vie à mon coeur! Je renais éternel. Une haleine de roses, un murmure d'abeilles, Me font l'âme divine et le coeur sans soucis. Gloire eyt vie à mon coeur! Je renais éternel. Une haleine de roses, un murmure d'abeilles, Et cette vision dans le ciel éclairci, M'ont fait l'âme divine et le coeur sans souci. Les drapeaux du Printemps se déroulent au ciel: Voici flotter sur lui tous ses vols d'hirondelles. Et mon âme est divine et mon coeursans soucis; Une haleine de roses dans le vent m'a saisi. Paul Fort |
| | Posté le 31-03-2004 à 13:04:17
| Allons voir le matin se lever Viens .Sur tes cheveux noirs jette un chapeau de paille. Avant l'heure du bruit, l'heure où chacun travaille, Allons voir le matin se lever sur les monts Et cueillir par les prés les fleurs que nous aimons. Sur les bords de la source aux moires assouplies, Les nénuphars dorés penchent des fleurs pâlies. Il reste dans les champs et dans les grands vergers; Comme un écho lointain des chansons des bergers; Et, secouant pour nous leurs ailes odorantes, Les brises du matin, comme des soeurs errantes, Jettent vers toi, tandis que tu souris, L'odeur du pêcher rose et des pommiers fleuris. Th. de Banville. |
| | Posté le 01-04-2004 à 14:13:41
| L' étoile du soir Pâle étoile du soir, messagére lointaine, Dont le front sort brillant des voiles du couchant, De ton pallais d'azur, au sein du firmament, Que regardes-tu dans la plaine? La têmpete s'éloigne, et les vents sont calmés; La forêt, qui frémit, pleure sur la bruyère, Le phalène doré, dans sa course légère, Traverse les près embaumés. Que cherches-tu sur la terre endormie? Mais déjà vers les monts je te vois t'abaisser; Tu fuis, en souriant, mélancolique amie, Et ton tremblant regard est près de s'éffacer. Etoile qui descends sur ala verte colline, Triste larme d'argent du manteau de la nuit, Toi que regarde au loin le pâtre qui chemine Tandis que pas à pas son long troupeau le suit, Etoile, où t'en vas-tu, dans cette nuit immense? Cherches-tu sur la rive un lit dans les roseaux? Ou t'en vas-tu si belle à l'heure du silence, Tomber comme une perle au sein profond des eaux? Alfred de Musset |
| | Posté le 11-04-2004 à 16:51:47
| désert je suis comme ce désert aride assoiffé d'eau et d'homme mes entrailles plein vent de ressources je suis né dans la nuit des temps rocheux , sablonneux et vide brulé par le soleil de plomb vidé , epuisé par des hommes ingrats je suis vaste , garnd comme le temps meliani |
| | Posté le 11-04-2004 à 17:09:01
| mon coeur voit melancolie , tristesse , chagrin et souffrance je vois dans tes yeux la peur , un regard timide ton visage dessine la tendresse, la beauté de femme par ton sourire la douceur exotique tes ecrits me disent que tu as mal en toi raconte-moi toi femme ce que tu caches la sois gaie , heureuse avec ou sans moi la pureté , la beauté d'une femme que je vois en toi passive , oubliée, je ne sais que dire de ca dresse-toi comme ce sapin bien droit regarde autours et dis toi que je suis la vis bien , je n'ai pas le temps de dire ca existe et respire fort cette fleur que je tends là reviens chaque soir me dire que tu es là meliani |
| | Posté le 16-04-2004 à 23:34:02
| Objet: Poème breton La nuit était noire La lune était blanche Nous étions seuls Elle et moi Sa peau si douce Ses yeux si bleus Je savais ce quelle Attendait de moi. Je lui dis de se calmer De ne pas se rebeller. Je fis courir ma main Doucement sur ses reins. Je n'y connaissais rien Mais je fis de mon mieux Pour placer mes doigts Délicatement entre ses seins. Je me souviens de ma peur De l'excitation de mon coeur Jusqu'à ce moment béni Où ma honte s'enfuit. Après quelques Hisse et Han ! Il ne fallut pas longtemps Pour qu'en un jet puissant Jaillisse le liquide blanc. Enfin j'avais réussi J'étais un homme à présent C'était la toute première fois cet automne... Que je trayais une vache Bretonne ! |
| | Posté le 18-04-2004 à 19:06:50
| ROSE il n'y a rose que toi comme rose qui pousse au bois il ne ce rose que dans ta bouche peinte de cette couleur il n'y a qu'une rose en moi c'est une belle femme comme toi il ne se ressemble que par ta voix faisant fremir ma joie il n'y a que rose qui jaillit en moi faut que je pense a toi il ne se passe que des jours sans toi je reve de toi des nuits blanches il n'y a que cette couleurs qui rose de tes pommettes tendre en toi il n'y a qu'une rose qui coule de ma plume en soie je ne vois que toi seule pour deviné que tu es la il n'y a que rose parfum douceur de nuit que je sois en toi dimanche viendra à ton secours une femme divine dormant au bois maliani madjid |
| | Posté le 19-04-2004 à 20:33:36
| A mes amis algériens Nous nous sommes connus tout à fait par hasard Juste en surfant sur la toile du monde Vous m'avez fait découvrir la beauté de chez vous Vous m'avez ouvert tout grand votre cœur Vous m'avez même conté vos amours, vos désarrois Jeunes hommes courageux d'Algérie Vous êtes devenus de merveilleux amis Vous m'avez envoyé des tonnes de tendresse Et j'y ai répondu de ma plus belle plume Nous avons échangé tant et tant d'amitié Certains m'ont dit nous n'avons plus d'avenir Ici on sacrifie il n'y a plus qu'à mourir Nous n'avons pas le choix La liberté est un droit Et qu'on me dise encore que l'on n'a jamais peur Je ne le croirai pas on est tellement pareils face au malheur Mon cœur se fissure et des larmes en découlent Chaque jour un peu plus dans l'angoisse de l'attente Et rien, pas un message qui puisse me rassurer Vous êtes là, presque coupés du monde Et moi impuissante, à m'interroger Comment peut-on arriver à de tels égarements Alors qu'il suffirait d'être plus tolérants... Se permettre un instant de crier la vérité Certains m'ont dit nous n'avons plus d'avenir Ici on sacrifie il n'y a plus qu'à mourir Nous n'avons pas le choix La liberté est un droit Algérie n'as-tu pas encore assez versé le sang Tu es belle et pourtant si cruelle La souffrance et la haine règnent en maîtres chez toi Et détruisent peu à peu les meilleurs de tes enfants Il ne faut pas qu'il y ait encore d'autres morts ! Petite européenne je ne peux que pleurer Sur le sort de ton peuple qui ne peut qu'émigrer S'il veut vivre en dehors de la peine, en dehors de l'horreur Et toi qui est leur Mère, tu ne t'en montres pas digne ! Alors que tu devrais leur donner tout de toi Certains m'ont dit nous n'avons plus d'avenir Ici on sacrifie il n'y a plus qu'à mourir Nous n'avons pas le choix La liberté est un droit Ils sont mes amis, et j'ai peur pour leur vie De nouvelles je n'ai que mauvaises, inquiétantes La crainte je la vis, eux sont en plein dedans Tant d'années de galère, et là tout continue Et surtout empire au lieu de s'apaiser Quelques fois moins, et quelques fois plus fort Ta terre est baignée de sang et tu laisses couler... Il faut cautériser et panser toutes tes plaies T'acharner à comprendre et surtout accepter Et ne pas briser ce que Dieu a mis tant de temps à construire ! Certains m'ont dit nous n'avons plus d'avenir Ici on sacrifie il n'y a plus qu'à mourir Nous n'avons pas le choix La liberté est un droit Pourquoi haïr alors qu'on peut aimer Le peuple se rebelle lorsqu'il se sent lésé De tout temps et partout dans le monde Le mal régit alors et la révolte gronde Diviser pour régner ? Non cela ne se peut pas ! Émeutes, guerre civile, expressions de colère Sentiment de crainte face à l'incompréhension Au nom des tiens Algérie, réveille-toi ! Avant qu'il soit trop tard et que tu perdes tout Et qu'il ne te reste plus qu'orgueil et arrogance ! Certains m'ont dit nous n'avons plus d'avenir Ici on sacrifie il n'y a plus qu'à mourir Nous n'avons pas le choix La liberté est un droit Tes jeunes, leurs espoirs, tes cultures Tant de choses sont en jeu et ils sont ton Futur ! Là, le bateau sombre et si tu ne fais rien Tu perdras à jamais les clés de la sérénité Et dès lors ne seras plus que l'ombre de toi-même Nul ne peut remonter en arrière Les choses passées, il faut les accepter La vengeance n'apporte que la vengeance Cercle vicieux que rien ne peut enrayer Rien qu'un peu d'amour et de fraternité Certains m'ont dit nous n'avons plus d'avenir Ici on sacrifie il n'y a plus qu'à mourir Nous n'avons pas le choix La liberté est un droit Arrête, tant qu'il en est encore temps Ne pas prêcher dans le désert Pour que toi terre fière Tu puisses enfin calmer l'ouragan qui s'enchaîne Et ne pas te laisser entraîner, partir à la dérive Tes femmes ont déjà tant souffert Perdu leurs hommes, leurs fils... Leurs larmes me parviennent telles un océan Leurs cris ne sont même plus assourdis par le vent N'as-tu pas de pitié ? Je ne veux pas y croire... Certains m'ont dit nous n'avons plus d'avenir Ici on sacrifie il n'y a plus qu'à mourir Nous n'avons pas le choix La liberté est un droit Petite européenne je ne peux qu'espérer Que la raison enfin surmonte la folie Que des hommes de bien arrivent à gérer Tous ces courants haineux qui déferlent aujourd'hui On ne peut ignorer ce qui se passe... ici |
| | Posté le 19-04-2004 à 20:45:07
| Si nous rêvions un peu Amie, douce égérie Oh oui, si nous rêvions Qu'en tes songes on se glisse Que soudain seuls à deux On entrouvre les grilles D'un jardin de passion Secret mais sans malice Bas le masque, toi l'ange de pierre Une petite âme triste aimerait te parler D'enfants ou de licornes, d'amour ou de misère Qu'importe : En son cœur un chat d'or est lové J'ai aimé tes poèmes, toi, ma nouvelle amie Ils sont mélancoliques mais on peut te soigner Fais donc un quart de tour : devant toi, il y a la vie Et des rêves de bonheur, tous à réaliser. C.A. |
| | Posté le 05-05-2004 à 22:01:33
| MON COEUR PLEURE UNE PLUIE DE TENDRESSE ET MON CORP FREMIS PAR TA VOIX TU ME CARESSE PAR TES YEUX DE FLAMMES JE BRULE COMME CE FEU DE BOIS EMBRASANT MA CHAIRE DE CHALEUR JE CARRESSE LE CONTOUR DE TES LEVRES COUPANTES TON SOURIRE MALIN ME PREND EN CHASSE JE ROUGIE DE DOULEUR EN MOI LES MOTS CE MELLENT DANS MA TETE JE SUIS LA POUR PARLER DE MOI TON ODEUR EST TOUJOUR COLLEE A MOI ET TA VOIX EST GRAVEE EN MOI |
| | Posté le 05-05-2004 à 22:02:07
| melianimdz: il neige j’avais promis de me taire de ne plus aimé des femmes mais par malheur je ne résiste ça leurs bonheurs douceurs je vous ai vue sortir du ciel emportant avec vous mon âme c'est pour dire qu'il neige mais ce froid que j'ai en moi réchauffe mon tendre cœur j'ai neigé toute la nuit avec mes pensées et de ma main ma plume trace des lignes droite vous pourriez comprendre que mon encre coule a flot de sang et de sueurs ce soir la ; la lune ce coucha dans le ciel puis un vide glaciale me croqua dedans j'eu peur de perdre la mémoire le matin levant le soleil timide viens me faire de ses siennes alors que le chant des oiseaux crépitent par dizaines : afin d'adoucir ma mémoire de chant et maintenant je tombe de sommeil perdu sous mes draps blancheur neige je vous regarde par le fond de mon oeil sur mon lit couché a peine je vous annonce ma tristesse il neige dans mon cœur et je sens la froideur le temps s'arête et me laisse en douleur vous n'aurez pas assez de tendresse pour mon cœur essayé a présent de comprendre ce que j'aime et même tout petit que je sois mon cœur aimera toujours ses femmes bonheurs et le blanc de cette neige faudra trouver encore plus de caresse pour me donner l'envie d'aime chaque jour sans pouvoir oublié mes chagrins et tristesses |
| | Posté le 05-05-2004 à 22:04:15
| De tes yeux triste et joyeux Une larme de cristal coule Limpide parfumé de jasmin et de rose Elle tombe comme cette étoile filante Qui fleurit tes joues rose Merveilleuse cette goutte Emportant avec elle ton chagrin Comme le vent pousse ce gros nuage Au lointain Horizon |
| | Posté le 09-05-2004 à 09:00:31
| LotusJaune222 : Le bébé Tu gazouilles du matin au soir tu souris, tu rigoles. Jour après jour, tu grandis tu évolues, te transformes. Tu n'étais qu'un tout petit bébé, et au fil du temps, tu deviens un beau petit garçon Tu ressembles à tes parents ensemble ils feront de toi un homme. |
| | Posté le 09-05-2004 à 09:01:35
| Charlotte : Le chemin de la vie Sur le chemin de la vie, les gens se promènent parfois lentement et parfois si rapidement. Le chemin de la vie, est tantôt rose et tantôt gris Sur le chemin de la vie, on rencontre des gens parfois gentils, parfois méchants. Mais sur le chemin de la vie tous les enfants grandissent lentement. |
| | Posté le 09-05-2004 à 09:03:16
| Eminé : Maman Je voulais, Maman gentille, t'offrir de belles jonquilles en un bouquet engageant. J'ai regardé les boutiques mais les prix sont fantastiques et ma bourse a peu d'argent ! Alors, au fond de ma tête, J'ai composé pour ta fête un tout petit compliment, et je t'offre ce poème pour te dire que je t'aime, je t'aime bien fort, Maman. |
| | Posté le 15-05-2004 à 08:38:38
| l'amour... c'est si facile trop difficile mille fois dispendieuse mais elle rend si radieuse quand on la comprend tout peut être différent tout est alors si extraordinaire tout est devenu si prospère ça devient alors trop à l'envers donc on la quitte pour un monde meilleur ça se transforme en mythe et on s'envole vers un monde de bonheur aimer c'est grandir mais haïr c'est ne pas aimer. |
| | Posté le 16-05-2004 à 21:57:49
| Aucune douleur ne vaux celle de mon cœur Des larmes de sang coulent en profondeur Pour avoir entendu cet homme , cette femme crié Pitié Dans ce grand fracas Aimant vivre en paix Pris par la mort Ce corps défile inerte Mes yeux parlant de joie Prennent une tournure tristesse Regardant ce ciel lumière Jusqu'à la nuit tremblante Je rêve que reviennent des oiseaux chantant Dans ce décor mourrant Mélianimdz |
| | Posté le 16-05-2004 à 22:03:59
| A la plus souriante des pucelles A la plus enivrante des jouvencelles Je veux dédier ce poème… Je te vois marcher Pieds nus dans un pré, Les cheveux aux vents Et tu souris, souvent. Je suis la derrière, Je marche dans tes pas. Mais le vent fait barrière Et tu ne me vois pas. Je te chuchote mon amour Mais le vent t’assourdis, toujours… En même temps qu’Aphrodite Le soleil, en son zénith. Le vent a cessé… Tu entendras peut être, Mon amour chuchoté Dans les effluves de cette lettre… |
| | Posté le 16-05-2004 à 22:05:07
| -------------------------------------------------------------------------------- Fais de beaux rêves... Douce nuit de pleine lune Où les nuages se sont effacés Devant le mirage ensorcelé Des étoiles et de Neptune. L'enfant sort de son chez soi Pas très loin, jusqu'à la fenêtre Pas longtemps, pour rêver peut-être Dans les nuages, là où il ne sait pas. Il rêve d'aller sur la lune Il pense qu'une grande échelle Mène la-haut, vers le ciel Il partirait seul avec prune. Prune c'est son doudou Un nounours de la même couleur Son meilleur ami, le seul d'ailleurs C'est son confident, il sait tout. Et il se voit à cheval sur une étoile Décorant l'azur de filaments de lumières Comme ces aventuriers de la mer Qui font le tour du monde à voiles. Pourtant, il sait qu'il est trop petit Et qu'il n'a pas le droit d'aller dehors A cause de ses marques sur le corps Mais il pense qu'il a été justement puni. Sa maman le prévenait de ne pas énerver papa Il se dit c'est sa faute, il a mit la pagaille Que papa est fatigué après le travail En fait ... il sait pas bien pourquoi. Les rues sont paisibles Jamais autant de sérénité N'avait été au rendez-vous d'Orphée Prenant bientôt l'enfant pour cible. Fais de beaux rêves dans ce placard Car demain sera un cauchemar. |
| | Posté le 21-05-2004 à 22:07:31
| Je t’aime Le soleil se lève aux parfums de l’orient Et monte vers les arcs qui sustentent les cieux Il se couche aux senteurs malouines d’océan Quand il finit sa ronde, révérence à mon Dieu. A mon doigt ton alliance est la route du soleil Une promesse à la vie de t’aimer chaque jour Elle brille dorée dans les volutes du ciel Pour chanter mon union à toi mon amour. Ton corps en soleil aux senteurs de l’encens Etire ses courbes et appelle de ses vœux Les nuits aux rayons bercées par le vent Et le souffle murmuré dans ton dos, tes cheveux. La lune argentée de miel à Venise Sur les lagunes endormies de la mer d’Illyrie Distille sa douceur aux reflets de cerise Sur les flots ouvragés de fines broderies. Dans mes yeux ciselés de l’aura de ton âme Joyau précieux, petite perle de mon cœur Se baigne de tendresse, pour toi une larme La joie d’être aimé y reflète mille lueurs. Ton visage auroré de couleurs boréales Brûle ma raison de sa douce lumière Et flotte en mon être comme l’eau de cristal De la joie vivifiante d’une pure rivière. |
| | Posté le 01-06-2004 à 22:00:10
| yeux PETITE Tes yeux viennent de se noyer Cet arbre aux fruits très demandés Que mangent les rois et princes d'Arabie Ton visage rectiligne me fait rappeler Marylin Et ton corps couvert de roses et de jasmin Parfume ton cœur de tendresse et de joie Ton cou est comme cette gazelle Et tes yeux en forme de noisette Ta main sur la joue pensive tu pleures Et de l'autre sur ton cœur fragile Tu es comme cet ours qui hiberne Dans sa caverne bien au chaud Tu ris parfois comme cette rose Qui s'ouvre pour prendre le soleil Ton regard de femme timide Laisse passer la couleur de tes yeux Tu me parles souvent de tes chagrins Et moi avec ma poésie je calme ta douleur |
| | Posté le 01-06-2004 à 22:01:41
| meliani madjid Je n'ai pas aimé voir les larmes Couler sur ton visage Ma peine était grande de te voir Pleurer sans cesse J'aurais voulu essuyer ces gouttes Qui coulaient sur tes joues Mon cœur s'est acharné sur l'homme Qui t'a fait du mal Je voulais garder dans mes pensées Toujours ce sourire doux Et cette voix rouée dans ta gorge Que j'aimais entendre douce Essuie tes larmes que je voie Au fond de tes yeux Cette couleur de pomme que tu portes Dans ce regard jeune Je suis un homme sensible et j'aime |
| | Posté le 08-06-2004 à 21:48:56
| Femme, Pour moi ton corps est un temple Qui brouille mon âme avec Dieu, Il suffit que je le contemple, Pour nourrir des desseins insidieux. Pour moi ton corps est une église, Où trônent deux seins généreux, Vers lesquels se focalisent, Mes prières aux accents langoureux. Seule et unique terre promise, Qui recèle des trésors délicieux ; Je n’attendrais pas comme Moïse, D’avoir le feu vert des cieux, Pour accoster sur ce rivage Peuplé d’ardentes promesses Et m’enivrer du doux breuvage, Jaillissant des monts de tendresse. Mon regard s’attarde indiscret Sur ces terres aux formes exquises, Réceptacle des doux secrets Et faite pour être conquises. Accepte Ô Divin créateur, Ma reconnaissance éternelle Et pardonne au grand tentateur, Qui m’invite à ses fêtes charnelles ! Dailleurs j’ai ouï dire que les anges, Cueillent parfois les fruits défendus Et que la nuit des soupirs étranges, Aux quatre coins des cieux sont entendus. Alors permet à l’humble mortel De rendre hommage à la féminité, En déposant sur ton autel, Des offrandes de frivolités. Femme, Pour moi ton corps est une église Où mon âme s’égare sans regrets ; Un temple où se matérialise, Un ciel chargé de tendres secrets. |
| | Posté le 12-08-2004 à 16:12:08
| Comme hier Comme demain Comme demain de ta voix douce j'observe encore ta belle chaire quant j'entends ta voix en ton absence de ton amour je n'aime que toi Comme hier tu renaîtra dans mon cœur si grand je te vois tourné juste devant moi Comme la rosée du matin printanier la lueur de tes yeux noirs souris à moi Comme ce jour je suis la à t'attendre venir sans l'être tu es saisons été au senteur de la plage Comme de suite l'automne viens ce parfum de framboise tu me tiens Comme de tes lèvres si tendres coupé sur du verre cristal j'admire tes cheveux sombres Comme petit que je sois j'aime ce sourire que tu me donnes rinçant mes yeux la fraîcheur du matin - Comme demain sera silence et que tu attendra mon absence je serai cette lune qui te portera bonheur Comme je trouve des mots pour toi ,je t'admire comme tu aime le faire pour moi Comme je te veux mais je n'ose , fou timide de le dire cette envie de te prendre en moi comme je voulais câliné tes belles jambes la nuit dans le silence je ne parle qu'aux anges et au créateur. meliani |
| | Posté le 12-08-2004 à 16:13:05
| Dort mon Cœur Dort mon cœur comme je dors a tes pieds mon souffle , comme tes caresses. Dort mon cœur comme tu dors dans mes bras glisse tes mains sur mon corps. Dort mon cœur comme je le fais chaque soir en regardant ton joli front. Dort mon cœur comme la lune partage en moi mes peines et repose ta tête sur mes genoux. Dort mon cœur toi mon amour tu le sais bien faire de ta bouche et donne moi à boire. Dort sur mon Corps et reste immobile des heurs j'aime sentir ton parfum si doux. Dort chérie et montre toi paresseuse car j'aime en toi cette douceur femme. Dort juste la a mes pieds , tout en silence et laisse mes baisés faire clore tes yeux noirs Dort la juste dans mes bras que je regarde tes yeux qui brillent de flammes . Dort sur mon épaule , et rêve de mon amour je suis jaloux de tes rêves. Dort et pense a moi le jour , la nuit et reste comme cette heureux présage. Dort j'aime te vois juste la les yeux rivés sur moi laisse mes doigts frôlés tes lèvres roses. Dort en moi comme ce bébé et laisse moi te bercé juste avec mes mots. Dort et ne parle que pour me dire des douces parole et laisse moi te faire l'amour. meliani madjid |
| | Posté le 12-08-2004 à 16:13:39
| ENVIE DE TOI J'ai envie de peindre tes belles lèvres fines de ses couleurs arc en ciel. Peindre autre chose qu'un joli sourire de mes mains expertes. Une fleur violette qui ne pourra mourir Dans ce volcan qui de ta bouche parfume je tremperai mon pinceau de ta salive. Qui fera de nos bouches un fruit divin que l'on dévorera au lointain matin. Dans la couleur vif de mon cœur mille feux fou ivres et charmeurs. Doucement nous soufflerons ce feu et tu sentira cette lave de mon amour en toi. Dans tes yeux qui brillent de mille facettes j'allumerai des guirlandes d'éclairs. Pour transformé en douce et tendre cratère d'où s'échappera ce feu brûlant de l'amour. Cette flamme qui jaillis en toi me redonne l'envie de toi. Sera une source de miel que j'aime boire de ta main . Puis après avoir manger de cette lave je dévore ainsi tes jolies seins. Nos corps allongés comme sous ses vents moissons et d'avoir échangé nos mots les plus tendres. Nos cris les plus tendres et doux ce mélange a nos jouissances. rassasier de plaisir je me mettrais allongé prés de tes pieds. Toi ma princesse d'amour , tu m'embrasse encore assise a mes cotés tu regarde le levé du jour. Je pose enfin sur ce tapis près de ton Corps affaibli pour te donner a boire de mon jus. j'adore caressé ton corps tes jambes tes genoux et chevilles je prendrais chaque image de toi et la mettre en moi meliani |
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