> > > > > > > petit soins.
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> > > > > > > Les infirmières la baignent, lui servent un délicieux repas et l\'assoient
> > > > > > > sur un fauteuil face à la fenêtre donnant sur un magnifique jardin.
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> > > > > > > Tout semble parfait mais après un moment elle commence à se pencher
> > > > > > > lentement sur la droite ! Immédiatement deux infirmières se précipitent et
> > > > > > > la remettent bien droit sur le fauteuil.
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> > > > > > > Tout semble retourner à la normale quand elle recommence à se pencher
> > > > > > > lentement sur la gauche ! Les infirmières accourent et une fois de plus
> > > > > > > essaient de la remettre d\'aplomb.
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> > > > > > > Quelques jours plus tard, la famille arrive pour voir comment va mamy.
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> > > > > > > - Tout se passe bien ici, ils sont gentils avec toi ?
> > > > > > >
> > > > > > > - C\'est pas mal du tout, à part qu\'ils ne me laissent pas péter !');">
Mamy vient d'arriver à la maison de retraite et tout le monde est aux
> > > > > > > petit soins.
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> > > > > > > Les infirmières la baignent, lui servent un délicieux repas et l'assoient
> > > > > > > sur un fauteuil face à la fenêtre donnant sur un magnifique jardin.
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> > > > > > > Tout semble parfait mais après un moment elle commence à se pencher
> > > > > > > lentement sur la droite ! Immédiatement deux infirmières se précipitent et
> > > > > > > la remettent bien droit sur le fauteuil.
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> > > > > > > Tout semble retourner à la normale quand elle recommence à se pencher
> > > > > > > lentement sur la gauche ! Les infirmières accourent et une fois de plus
> > > > > > > essaient de la remettre d'aplomb.
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> > > > > > > Quelques jours plus tard, la famille arrive pour voir comment va mamy.
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> > > > > > > - Tout se passe bien ici, ils sont gentils avec toi ?
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> > > > > > > - C'est pas mal du tout, à part qu'ils ne me laissent pas péter !
| a lire pas mal bonne cette histoire. danielle > Manuel a 95 ans et habite un foyer de vieillards. Toutes les nuits > > après le souper il fait une promenade dans le jardin. Une nuit, il > s'approche de Marie, 87 ans, et lui dit : «tu > > sais ce qui me manque le plus ? » > > - Quoi ?, répond Marie > > - Le sexe ! > > Marie s'esclaffe. > > - Vieux cochon ! Tu ne banderais pas même si on te menaçait avec > > un revolver. > > - Je sais, dit Manuel, mais j'aimerais qu'une femme me la prenne > > dans sa main un peu. > > - Bon si c'est seulement ça je peux t'aider, lui consent de > bonne de grâce > Marie. > > Unissant le geste à la parole elle lui descend la braguette, > sort le > > petit pénis et la garde dans sa main. La tête de Manuel > > exprime un plaisir absolu. Ils se mettent d'accord pour se > > rencontrer secrètement chaque nuit, histoire de jaser et se la > > tenir un peu. > > Une nuit Manuel ne vient pourtant pas à l'heure convenue. Marie, > > angoissée, le cherche partout pour s'assurer que rien de fâcheux > > ne lui est arrivé. Elle le retrouve enfin assis au bord de la > > piscine avec Odette, une jeune poulette de 75 ans, lui tenant la > > > > > quéquette dans sa main. > > Furieuse, Marie l'invective : « Traître! Qu'est ce qu'elle a que > > Je n'ai pas? » > > Et Manuel avec sa plus belle expression > > de joie de lui répondre : > > Le PARKINSON !!! |
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| Dans un hôtel, en France, un français prend tranquillement son petit déjeuner : café, croissant, baguette, beurre et confiture. Un touriste américain mâchant son chewing gum s'installe en face de lui. Bien que le français l'ignore, l'américain engage la conversation : > - Vous les français, vous mangez tout le pain ? > - Oui, répond le Français. L'Américain (après avoir fait une grosse bulle avec son chewing gum) ajoute: > -Nous en Amérique, on mange juste l'intérieur. La croûte, on la met dans > des containers, on la recycle en faisant des croissants et on les vend aux Français. L'américain a un petit sourire sur le visage, le français écoute en silence. > L'américain persiste : > - Vous mangez la confiture avec le pain ? > -Oui. > L'américain (une grosse bulle éclate sur sa figure et d'un coup de langue > habile, il ravale son chewing gum et continue à mâcher) : > -Nous pas, en Amérique, on mange des fruits frais au petit déjeuner. Et on > met les pelures, les pépins et les restes dans un container, on les recycle en > faisant de la confiture et on la vend aux Français. > Le Français demande alors : > - Faites-vous l'amour en Amérique ? > -Yeah bien sûr, très souvent dit-il avec un large sourire. > -Et que faites vous des préservatifs utilisés ? > -Et bien comme tout le monde, on les jette. > -Pas nous. Une fois utilisés, on les recycle dans des containers, on fait du > chewing gum et on le vend aux américains |
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| Un homme s'évade de prison après 15 ans. Il entre dans une maison pour voler de l'argent et un fusil. Il trouve un jeune couple au lit. Il ordonne à l'homme de sortir du lit et l'attache à une chaise. Il attache ensuite la femme au lit. Il se met dessus et l'embrasse dans le cou. Ensuite il se lève et s'en va dans la salle de bain. Le mari tout affolé en profite pour dire à sa femme : "Écoute ma chérie, c'est un évadé de prison, regarde ses vêtements. Cela doit faire longtemps qu'il n'a pas vu de femme. J'ai vu comment il t'embrassait dans le cou. S'il veut du sexe, ne résiste pas, fais ce qu'il veut. Donne-lui satisfaction même si ça te répugne. S'il se fâche, il peut nous tuer. Sois forte chérie. Je t'aime." Sa femme lui répond : "Il ne m'embrassait pas dans le cou, il m'a chuchoté a l'oreille qu'Il était gay, qu'il te trouvait de son goût et voulait savoir si on avait de la vaseline. Je lui ai dit oui, dans la salle de bain. Sois fort chéri... Je t'aime !" |
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| Deux corbillards, à la queue leu-leu, montent l'allée centrale du cimetière de la Côte-des-neiges. Derrière les deux limousines, une femme seule, accompagnée de son chien. Un pit-bull, semble-t-il. Et, à une dizaine de mètres derrière la femme, toute voilée de noir, un nombre imposant de femmes. Quelques dizaines de femmes. Toutes silencieuses. Curieuse, je m'avance vers la femme, et lui présente mes sympathies. - Merci jeune dame. Vous êtes très gentille. - Puis-je vous demander, Madame, pourquoi deux corbillards? Comme vous devez souffrir. -Merci. - C'est l'enterrement de qui? - Dans le premier, c'est mon mari. - O mon Dieu! Pardonnez-moi, Madame. Que lui est-il arrivé. - C'est Moustache, mon chien, qui l'a égorgé à mort. - Ayoye. Quelle douleur! - Et dans le deuxième corbillard? - C'est Alice, ma belle-mère, qui a tenté de s'interposer. - Madame... Euh, comment dire, me prêteriez-vous Moustache quelques jours? - Mettez-vous en ligne, derrière les autres. |
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