Sujet :

DIANE_TELL

idem
   Posté le 14-03-2005 à 13:40:22   

Paroles: Diane Tell


Si J'étais un Homme!


Moi, si j'étais un homme, je serais capitaine
D'un bateau vert et blanc
D'une élégance rare et plus fort que l'ébène
Pour les trop mauvais temps.


Je t'emmènerais en voyage
Voir les plus beaux pays du monde
J' te ferais l'amour sur la plage
En savourant chaque seconde
Où mon corps engourdi s'enflamme
Jusqu'à s'endormir dans tes bras
Mais je suis femme et, quand on est femme
On ne dit pas ces choses-là.


Je t'offrirais de beaux bijoux
Des fleurs pour ton appartement
Des parfums à vous rendre fou
Et, juste à côté de Milan
Dans une ville qu'on appelle Bergame
Je te ferais construire une villa
Mais je suis femme et, quand on est femme
On n'achète pas ces choses-là.


Il faut dire que les temps ont changé
De nos jours, c'est chacun pour soi
Ces histoires d'amour démodées
N'arrivent qu'au cinéma
On devient économe
C'est dommage, moi j'aurais bien aimé
Un peu plus d'humour et de tendresse
Si les hommes n'étaient pas si pressés
De prendre maîtresse...
Ah! si j'étais un homme!


Je t'appellerais tous les jours
Rien que pour entendre ta voix
Je t'appellerais "Mon Amour"
Insisterais pour qu'on se voie
Et t'inventerais un programme
À l'allure d'un soir de gala
Mais je suis femme et, quand on est femme
Ces choses-là ne se font pas.


Il faut dire que les temps ont changé
De nos jours, c'est chacun pour soi
Ces histoires d'amour démodées
N'arrivent qu'au cinéma
On devient économe
C'est dommage, moi j'aurais bien aimé
Un peu plus d'humour et de tendresse
Si les hommes n'étaient pas si pressés
De prendre maîtresse...
Ah! si j'étais un homme
Je serais romantique...

idem
   Posté le 15-03-2005 à 13:42:00   

Paroles: Luc Plamondon, Diane Tell


La légende de Jimmy!



Je l'aimerai à travers toi
Je t'aimerai à travers lui
Et pour lui tu me donneras
Le meilleur de ta vie
Je l'aimerai à travers toi
Je t'aimerai à travers lui
Et je me donnerai à toi
Comme si tu étais lui


Je n'irai plus au cinéma
Si tu veux tu seras celui
Celui qui le remplacera
Dans mes nuits avec lui
Je n'irai plus au cinéma
Je t'aimerai pour aujourd'hui
Je revivrai à travers toi
La légende de Jimmy


Je l'aimerai à travers toi
Je t'aimerai à travers lui
Il y aura entre toi et moi
La légende de Jimmy


Malgré le temps qui passera
Même si la vie nous désunis
Il restera entre toi et moi
La légende de Jimmy


La légende de Jimmy
La légende de Jimmy

idem
   Posté le 16-03-2005 à 14:58:58   

Paroles et Musique: Diane Tell


Gilberto!



Oh! Gilberto

C'est une voix dans la nuit qui voile les bruits
Et change les cris de la ville en harmonies
Gilberto
Mélodie de velours que rythment les mots
Parole de mie que répercute l'écho.


Jusqu'à vous mes amours passées
Pour ne jamais vous oublier
Car on finit toujours par effacer
Le nom de ceux qu'on a juré d'aimer
Toute la vie
Ces moments nous sourient
Le temps d'une chanson.


Gilberto

C'est un voyage au soleil sans risque de pluie
Un souffle chaud qui apaise son ennui
Lorsqu'on ranime son passé
Pour ne jamais l'oublier
Car on finit toujours par effacer
Le nom de ceux qu'on a juré d'aimer
Toute la vie
Ces moments de passion
Quand on veut perdre la raison.


Gilberto

Tendre comme le sein d'une femme-enfant
Que l'on prend dans la paume de sa main
Comme on caresse son chien
Qui nous fixe tendrement
L'espoir du prisonnier
Le chant de sa liberté
Comme elle est douce douce délivrance 2x
Le temps d'une chanson.

idem
   Posté le 17-03-2005 à 13:25:15   

Paroles et Musique: D.Tell, F.Hardy


Faire à Nouveau Connaissance!



Rien que du pain quotidien
Et toi qui n'a plus très faim
Rien que des breaks anodins
Du style je suis mort à demain
Et c'est comme si
T'avais moins envie
De nos corps à corps
Quand tu t'ennuies je voudrais si fort


Comme un printemps qui commence
Comme un hiver qui finit
Faire à nouveau connaissance
A Montréal ou à Paris
Quand reviennent la transparence
Et la tiédeur douce des nuits
Faire à nouveau connaissance
Du début de nos folies


Comme un printemps qui commence
Comme un hiver qui finit
Faire à nouveau connaissance
A Rome Genève ou Paris
Quand reviennent la transparence
Et la tiédeur douce des nuits
Faire à nouveau connaissance
Le tournant de nos deux vies


Moins de mal de hâte de pair
Bye bye soit sage à tout à l'heure
Moins de regards moins d'études
Un avant-goût de solitude
Des alibis qui se multiplient
Point virgule ou point mort
Il fait si gris
Je voudrais si fort


Faire à nouveau connaissance
De la fureur et du bruit
Du désir qui recommence
Que jamais rien n'assouvit
De joies en désespérances
Et d'enfer en paradis
Faire à nouveau connaissance
N'en avoir jamais fini


Comme un printemps qui commence
Comme un hiver qui finit
Faire à nouveau connaissance
A Montréal ou à Paris
Quand reviennent la transparence
Et la tiédeur douce des nuits
Faire à nouveau connaissance
Du tournant de nos deux vies


Faire à nouveau connaissance
De la fureur et du bruit
Du désir qui recommence
Que jamais rien n'assouvit
De joies en désespérances
Et d'enfer en paradis
Faire à nouveau connaissance
N'en avoir jamais fini


Comme un printemps qui commence
Comme un hiver qui finit
Faire à nouveau connaissance
Vancouver Miami
Comme un printemps qui commence
Comme un hiver qui finit
Faire à nouveau connaissance
Amsterdam Wyoming...

idem
   Posté le 18-03-2005 à 14:09:14   

Paroles et Musique: Diane Tell


La Falaise!


La chaleur suffocante rendit pénible
Le passage dans ces bois denses et sombres
Mais quand le bleu de la mer fut visible
Le sentier devint presque sans encombre
Comme animée d'un second souffle
J'accourus
Vers cette éblouissante étendue


A court de force et sans guide
En bordure de la falaise
La proximité du vide
Paralyse les jambes tant elle pèse
C'est pourtant des sommets
Qu'on y voit le plus clair


Au large, devant la nuit un voilier blanc
S'approchait de l'eau calme près des terres
Au large de ma vie le ciel brûlant
Avant de s'éteindre fit la lumière
Sur le détour permettant d'éviter
Le récif de corail immergé


A court de force et sans guide
En bordure de la falaise
La proximité du vide
Paralyse les jambes tant elle pèse
C'est pourtant des sommets
Qu'on y voit le plus clair


Comme animée d'un second souffle venu
D'une telle éblouissante étendue


A court de force et sans guide
En bordure de la falaise
La proximité du vide
Paralyse les jambes tant elle pèse
C'est pourtant des sommets
Qu'on y voit le plus clair


A court de force et sans guide
En bordure de la falaise
La proximité du vide
Paralyse les jambes tant elle pèse
C'est pourtant des sommets
Qu'on y voit le plus clair.

idem
   Posté le 21-03-2005 à 15:28:50   

Paroles: Robert Nyel. Musique: Gaby Verlor

Michel Legrand

Autres Interprètes: Mylène Farmer, Diane Tell

Déshabillez-Moi!




Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite
Sachez me convoiter, me désirer, me captiver
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Mais ne soyez pas comme tous les hommes, trop pressés.


Et d'abord, le regard
Tout le temps du prélude
Ne doit pas être rude, ni hagard
Dévorez-moi des yeux
Mais avec retenue
Pour que je m'habitue, peu à peu...


Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite
Sachez m'hypnotiser, m'envelopper, me capturer
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Avec délicatesse, en souplesse, et doigté
Choisissez bien les mots
Dirigez bien vos gestes
Ni trop lents, ni trop lestes, sur ma peau
Voilà, ça y est, je suis
Frémissante et offerte
De votre main experte, allez-y...


Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Maintenant tout de suite, allez vite
Sachez me posséder, me consommer, me consumer
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Conduisez-vous en homme
Soyez l'homme... Agissez!
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Et vous... déshabillez-vous!