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idem
Le Prix à Payer pour être Heureux…


Le Prix à payer pour être Heureux, c’est le Don, la Gratuité.

En prenant des Autres, en les siphonnant de toutes sortes de manières, je bloque l’énergie Vitale de la Vie et je me coupe de ma source d’Amour.

Je m’enfonce ainsi dans la compulsion, dans l’auto-préoccupation dans un complexe de supériorité, dans la déchéance de mon être.

Je ne peux m’épanouir et me réaliser.

Agissant ainsi, je n’ai pas le courage de me changer et je veux changer les autres pour me sentir heureux.


Alors, si je prends des autres pour me rendre heureux, je me coupe de moi.

Je crois vivement que l’extérieur pourra me rendre heureux.

Je crois que lorsque j’aurai trouvé la bonne personne dans ma vie amoureuse, je serai heureux, que lorsque j’aurai un travail qui me plaît, je serai heureux, que lorsque j’aurai des enfants, je serai heureux, que lorsque j’aurai plus d’argent et de sécurité matérielle, je serai heureux, etc.…

Ce qui est faux.


Pourquoi passons-nous ainsi à côté du bonheur croyant l’avoir trouver à l’extérieur de nous?

Simplement, parce que nous croyons qu’il existe. Au moment où nous cessons de chercher le bonheur à l’extérieur de nous et que nous nous connectons à notre source d’amour, la cessation émotive s’effectue.

Nous n’avons plus besoin d’être heureux.

Nous sommes, tout simplement, et cela n’a besoin d’aucune étiquette. Si le bonheur existe, c’est un état d’être sans étiquette, inexplicable.

C’est un état d’être sans mots.

C’est pourquoi les maîtres de la sagesse disent qu’il est simple d’être heureux.

Arrêter l’émotivité, être et n’avoir aucun mot à dire.

On dit que ces maîtres trouvent des moyens compliquer de nous amener sur le chemin de cette simplicité, sans quoi nous ne les croyons pas ou ne les comprenons pas.



Puis, dans ce sens, nous associons souvent le plaisir à l’état d’être du bonheur et de l’amour.

Toujours identifiez la source de notre bonheur.

Si cette source est extérieure à nous, ce n’est pas un vrai bonheur
Nous devenons donc dépendant de cette source pour être heureux.

C’est pourquoi la majorité des humains sont malheureux en ce moment.

Les maîtres du marketing, économiques ou autres, ont compris qu’en déconnectant l’humain de sa source d’amour, il devient facilement manipulable, dépendant et hyper payant.

La nature de la nature est gratuité. Nous sommes en symbiose avec celle-ci.

Elle combat naturellement cette déficience et elle vaincra.

La vie ne peut perdre.

Toutefois, devant la déchéance, elle peut détruire pour reconstruire.

De là la thèse du déluge.

Que ce phénomène se soit produit ou pas n’a aucune importance.

C’est le message de cette histoire qui nous importe.

idem
Adieu! Je crois qu'en cette Vie

Je ne te Reverrai Jamais

Dieu Passe, il t'Appelle et M'oublie

En te Perdant, je Sens que je t'Aimais.

idem
Peu de richesses bien ménagées durent longtemps, mais de grands

Trésors ne sont pas de durée lorsqu'on les prodigue.

idem
Trop de bonté dans les parents, cause la perte des enfants.
idem
Assume ton destin.

Derrière les soucis, le chagrin et la peur, tu découvriras alors

l'extraordinaire bonheur qu'est la confiance en soi.

idem
Pourquoi, mon Coeur, erres-tu en Vain ?

Repose-toi donc quelque part.

Ce qui doit arriver arrive.

Ne songe pas à ce qui fut ni à ce qui sera

Réjouis-toi des Joies qui viennent et passent sans que tu ne t'y attendes.

idem
Celui qui est capable de marcher derrière une musique militaire n'a pas besoin de cerveau, une moelle épinière lui suffit.
idem
Venez, mon bien-aimé, m'énivrer de délices

Jusqu'à l'heure où le jour appelle aux sacrifices.

idem
Le Prix à Payer pour être Heureux…


Le prix à payer pour être heureux, c’est le don, la gratuité.

En prenant des autres, en les siphonnant de toutes sortes de manières, je bloque l’énergie vitale de la vie et je me coupe de ma source d’amour.

Je m’enfonce ainsi dans la compulsion, dans l’auto-préoccupation, dans un complexe de supériorité, dans la déchéance de mon être.

Je ne peux m’épanouir et me réaliser.

Agissant ainsi, je n’ai pas le courage de me changer et je veux changer les autres pour me sentir heureux.


Alors, si je prends des autres pour me rendre heureux, je me coupe de moi.

Je crois vivement que l’extérieur pourra me rendre heureux.

Je crois que lorsque j’aurai trouvé la bonne personne dans ma vie amoureuse, je serai heureux, que lorsque j’aurai un travail qui me plaît, je serai heureux, que lorsque j’aurai des enfants, je serai heureux, que lorsque j’aurai plus d’argent et de sécurité matérielle, je serai heureux, etc.…

Ce qui est faux.


Pourquoi passons-nous ainsi à côté du bonheur croyant l’avoir trouver à l’extérieur de nous?

Simplement, parce que nous croyons qu’il existe. Au moment où nous cessons de chercher le bonheur à l’extérieur de nous et que nous nous connectons à notre source d’amour, la cessation émotive s’effectue.

Nous n’avons plus besoin d’être heureux.

Nous sommes, tout simplement, et cela n’a besoin d’aucune étiquette. Si le bonheur existe, c’est un état d’être sans étiquette, inexplicable.

C’est un état d’être sans mots.

C’est pourquoi les maîtres de la sagesse disent qu’il est simple d’être heureux.

Arrêter l’émotivité, être et n’avoir aucun mot à dire.

On dit que ces maîtres trouvent des moyens compliquer de nous amener sur le chemin de cette simplicité, sans quoi nous ne les croyons pas ou ne les comprenons pas.



Puis, dans ce sens, nous associons souvent le plaisir à l’état d’être du bonheur et de l’amour.

Toujours identifiez la source de notre bonheur.

Si cette source est extérieure à nous, ce n’est pas un vrai bonheur
Nous devenons donc dépendant de cette source pour être heureux.

C’est pourquoi la majorité des humains sont malheureux en ce moment.

Les maîtres du marketing, économiques ou autres, ont compris qu’en déconnectant l’humain de sa source d’amour, il devient facilement manipulable, dépendant et hyper payant.

La nature de la nature est gratuité. Nous sommes en symbiose avec celle-ci.

Elle combat naturellement cette déficience et elle vaincra.

La vie ne peut perdre.

Toutefois, devant la déchéance, elle peut détruire pour reconstruire.

De là la thèse du déluge.

Que ce phénomène se soit produit ou pas n’a aucune importance.

C’est le message de cette histoire qui nous importe.

idem
Un baiser, mais à tout prendre, qu'est-ce?

Un serment fait d'un peu plus près, une promesse

Plus précise, un aveu qui veut se confirmer

Un point rose qu'on met sur l'i du verbe aimer

C'est un secret qui prend la bouche pour oreille.

 
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